Diner de fin d'année entre collègues aujourd'hui J'ai rencontré des femmes joyeuses et jolies Elles m'ont parlé de leurs enfants , de leurs maris
Elles m'ont fait sourire Et même fait rire Le bonheur et l'amour rendent Les femmes belles et légères
Je ne me rappelle pas avoir jamais été légère...
3 commentaires:
gazou
a dit…
On est ce qu'on est et c'est cela que l'on doit être...Pourquoi vouloir imiter ceux qui sont légers ? Mais moi aussi, plus jeune, j'ai envié ceux et celles qui savaient être légers
J'ai visité tes écrits après être passé chez Coumarine! C'est bien écrit, bien dit. Mais pourquoi diable ce sentiment de tristesse, de solitude que l'on ressent... Le déni de bonheur est aussi grave que l'absence de crainte du malheur! La vie est "duelle" et l'on y a jamais "ni toute la chance, ni toute la malchance!" Je reviendrais avec plaisir lire tes articles! Amitiés.
Moi, je te comprends, ce n'est pas facile d'être mal mariée et on porte ça longtemps. Je me souviens être restée heureuse le plus longtemps possible, traînant et traînant mes illusions, jusqu'au moment où il n'était plus possible de me faire des illusions. Restait le fantasme, les passions, celle d'apprendre, de lire, de me lancer toujours dans quelque chose de nouveau. De voir un enfant grandir, et grandir bien -hormis l'adolescence qui fut difficile...
N'y a-t-il pas eu malgré tout quelques moments de bonheur? En cherchant un peu ... Non ???
3 commentaires:
On est ce qu'on est et c'est cela que l'on doit être...Pourquoi vouloir imiter ceux qui sont légers ?
Mais moi aussi, plus jeune, j'ai envié ceux et celles qui savaient être légers
J'ai visité tes écrits après être passé chez Coumarine!
C'est bien écrit, bien dit. Mais pourquoi diable ce sentiment de tristesse, de solitude que l'on ressent... Le déni de bonheur est aussi grave que l'absence de crainte du malheur!
La vie est "duelle" et l'on y a jamais "ni toute la chance, ni toute la malchance!"
Je reviendrais avec plaisir lire tes articles!
Amitiés.
Moi, je te comprends, ce n'est pas facile d'être mal mariée et on porte ça longtemps. Je me souviens être restée heureuse le plus longtemps possible, traînant et traînant mes illusions, jusqu'au moment où il n'était plus possible de me faire des illusions. Restait le fantasme, les passions, celle d'apprendre, de lire, de me lancer toujours dans quelque chose de nouveau. De voir un enfant grandir, et grandir bien -hormis l'adolescence qui fut difficile...
N'y a-t-il pas eu malgré tout quelques moments de bonheur? En cherchant un peu ... Non ???
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