Un joli billet d'Arthémisia que vous trouvez
ICI
m'a fait penser à cette chanson que j'aime
"Il est un jardin
Enfoui au creux de ma mémoire
Un jardin bleu dans le matin
Où ont poussé des iris noirs
Un jardin dont j'ai tant rêvé
Oh qu'un jour je puisse y entrer
Me reposer à tout jamais
Près de la tombe abandonnée
De Laura.
Je saurai le seuil
Au bruit de la grille rouillée
L'endroit du puits sous les tilleuls
On y buvait des jours d'été,
En écartant les giroflées,
Les mousses sombres et glacées,
Les scolopendres effrayées,
Près de la tombe abandonnée
De Laura.
Oh je voudrais tant mourir en ce jardin
A l'ombre calme des grands pins
Que s'ouvrent enfin les roses
Closes
Depuis si longtemps.
Il est un jardin
Enfoui au fond de ma mémoire
Un jardin bleu quand vient le soir
Où ont poussé deux lauriers thyms
Un jardin où j'ai tant pleuré
Oh qu'un jour je puisse y entrer
Me reposer à tout jamais
Près de la tombe parfumée
De Clara
Nous aurons des rires
Comme des vols de passereaux
De grands rires clairs de jeunes filles
Des rires frais comme des ruisseaux
Comme des rires de gens heureux
Nous réinventerons le temps
Des jours où l'on avait le temps
De parler de jardins en fleurs
Et des choses du coeur.
Oh je voudrais tant revivre en ce jardin
A l'ombre calme des grands pins
Que s'ouvrent enfin les roses
Closes
Depuis si longtemps
Là"
ICI
m'a fait penser à cette chanson que j'aime
"Il est un jardin
Enfoui au creux de ma mémoire
Un jardin bleu dans le matin
Où ont poussé des iris noirs
Un jardin dont j'ai tant rêvé
Oh qu'un jour je puisse y entrer
Me reposer à tout jamais
Près de la tombe abandonnée
De Laura.
Je saurai le seuil
Au bruit de la grille rouillée
L'endroit du puits sous les tilleuls
On y buvait des jours d'été,
En écartant les giroflées,
Les mousses sombres et glacées,
Les scolopendres effrayées,
Près de la tombe abandonnée
De Laura.
Oh je voudrais tant mourir en ce jardin
A l'ombre calme des grands pins
Que s'ouvrent enfin les roses
Closes
Depuis si longtemps.
Il est un jardin
Enfoui au fond de ma mémoire
Un jardin bleu quand vient le soir
Où ont poussé deux lauriers thyms
Un jardin où j'ai tant pleuré
Oh qu'un jour je puisse y entrer
Me reposer à tout jamais
Près de la tombe parfumée
De Clara
Nous aurons des rires
Comme des vols de passereaux
De grands rires clairs de jeunes filles
Des rires frais comme des ruisseaux
Comme des rires de gens heureux
Nous réinventerons le temps
Des jours où l'on avait le temps
De parler de jardins en fleurs
Et des choses du coeur.
Oh je voudrais tant revivre en ce jardin
A l'ombre calme des grands pins
Que s'ouvrent enfin les roses
Closes
Depuis si longtemps
Là"
7 commentaires:
il y avait bien longtemps que je n'avais pas entendu Marie chanter et j'aime sa voix et l'émotion qui s'en dégage comme de ce poème que j'ai cru de toi jusqu'à la dernière ligne
Un bel article
je ne sais te dire que merci, Catherine, pour lui surtout.
Bises
Arthi
Trop d'émotions à la lecture du billet d'Arthémisia et de ce beau poème de Marie Laforêt. Silence, pas de mot...Une grosse brûlure au fond du cœur.
J'écouterai la voix de Marie plus tard...en ce moment, je ne peux pas.
Et, je repense sans arrêt à la "Petite Maison Blanche"...Oui, il en faudrait plus comme le souligne Vallis.
Bonne journée à toi Catherine. Et, surtout du repos et soigne toi bien.
Te lire et te relire est source de vie. MERCI. MICHEL
Ce texte est particulièrement bien écrit. Il est de qualité, très poétique et ce n'est pas si commun dans la "variété". De qui est-il Catherine? Je n'ai qu'un reproche à lui faire : sauter d'un coup de Laura à Clara. Mais ça reste un très beau texte, qui accompagne bien celui de Arthi qui est très émouvant. Je t'embrasse.
Je ne la connaissais pas cette chanson.
La dernière photo me rappelle un peu les canaux en savoie !!
beaujour catherine
cela me rappelle une poésie que j'avais apprise toute petite
"mon petit jardin"
c'est étrange, je l'ai toujours en mémoire .
douce aprés midi à toi
bises
Très jolie chanson.
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