Dans ma tête
Celui qui m'apaise
Celui qui me calme
Celui qui est rare
Il y a le silence
Dans tes mots
Celui qui me tue
Celui qui me déchire
Celui que je reconnais
Dans tes mots
Celui qui me tue
Celui qui me déchire
Celui que je reconnais
Il y a le silence
Dans mon cœur
Celui qui me plombe
Celui qui me noie
Celui qui m'engloutit
Il y aura le silence
Dans mes mots
Celui que je m'imposerai
Celui que je respecterai
Je t'oublierai
Photos Déviant Art
13 commentaires:
bonsoir Catherine . toujours dtes textes aussi touchants , aussi poignant et beaux . et bien illustés , valeur ajoutée . je t'embrasse . jean-pierre
c'est magnifique
Que dire de plus ?
...ça me fait mal. Mais c'est bien que tu écrives, les mots sont des sutures.
Je t'embrasse.
Le silence est parfois mieux que les mots qui blessent...
J'aime le silence dans ma tête, celui qui apaise...
J'aime le silence... souvent il me reconstruit... j'ai besoin du silence.
J'aime beaucoup la 3ème photo
Triste mais talentueux avec un bel espoir final. C'est très beau.
Magnifique encore une fois car je pourrais faire le même commentaire à la suite de tous les joyaux que tu nous offre ici. Je ne sais rien de toi mais ton âme et ton coeur s'expriment en grâce et profondeur par la maîtrise de ton Art.
Des fleurs de bonheur sont sur ton chemin.
"Laisse les vouloir deviner ton histoire"
que de silences si différents! Un même mot cache des réalités parfois contradictoires
tu illustres toujours magnifiquement tes beaux textes...
Le silence est sujet à toute les interprétations, il ronge plus que les mots violents. Je préfère que l'on me dise M.... que de rien dire du tout.
Au bout, la résignation. Peut-être est-ce la dedans qu'on finit par se connaître?...Toutes ces interrogation qui font renaître?
Il semble être écrit pour moi ...
Tant de maux de tes mots viennent vers moi...
je me demande toujours comment tu fais pour trouver d'aussi jolis mots et où tu déniches d'aussi belles photos
amitiés
Thérèse
Le silence qui mène à l'oubli, vaut mieux que le silence qui écorche parce qu'on essaie de le percer, de le comprendre. On s'épuise. En vain. Le silence que l'on s'impose est lourd à porter, mais en fin de compte, il guérit. On oublie!
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